En 2050, la Suisse existera-t-elle encore et si oui, sous quelle forme ?
Faire de la politique, c’est résoudre les problèmes qui se posent aujourd’hui afin que nous puissions toutes et tous vivre mieux demain. Mais toute action politique influence aussi la Suisse à long terme et nul politicien ne peut se soustraire à anticiper l’impact de son action pour l’avenir.

Alors, quelle est la Suisse que j’appelle de mes vœux en 2050 ?
En premier lieu, je m’engage pour que le Suisse, en 2050, existe toujours et soit encore indépendante ! Aujourd’hui, nombreux sont celles et ceux, surtout à gauche, qui sont prêts à brader notre indépendance pour avoir un peu de lumière en Europe. Quels balourds ! Sont-ils donc prêts à perdre leur liberté pour assouvir leurs égos ? Pour ma part, je soutiens que notre liberté et notre indépendance sont cruciales. Comment décider de la Suisse dans laquelle nous voulons vivre si nous devenons les valets des puissances étrangères ?
Je souhaite également que la Suisse, en 2050, soit encore une démocratie où le peuple reste le souverain. Il nous faut éviter la dérive où une petite élite, même bienpensante, dicte ce qui est juste au peuple. Le pouvoir est au peuple, pour le peuple et par le peuple !
La Suisse, en 2050, doit être un pays prospère, qui permette à ses habitants de mener une vie digne. Cela semble être quelque chose d’acquis, mais n’oublions pas que, jusqu’au 19ème siècle, la Suisse était très pauvre et que les Suisses devaient émigrer pour trouver meilleure fortune. Notre prospérité est finalement relativement récente et cela demande du travail et des efforts pour la préserver. La Suisse doit être solidaire mais qu’elle pense en premier lieu aux Suissesses et aux Suisses.
Finalement, je souhaite que la Suisse, en 2050, reste fidèle aux valeurs qui ont fait la Suisse. Fiers de notre passé, nous devons rester fidèles à nos valeurs de travail, de justice, de courage et de mérite. Pour que notre société existe, il nous faut partager des valeurs communes et les transmettre de génération en génération. Notre société doit être laïque et tolérante, mais sans devenir amnésique et faible !
Voici mon projet pour la Suisse de 2050. Mais, comme le dit la devise suisse, « Unus pro omnibus, omnes pro uno », rien ne s’accomplit sans une adhésion populaire. J’espère, chères lectrices et chers lecteurs, que vous partagez ce même projet pour notre Suisse et que j’aurai, ainsi que la liste UDC, votre soutien le 20 octobre !